Dans les startups en général, on s’attend à trouver une certaine effervescence et une organisation plutôt informelle. Les rôles et responsabilités se déterminent de manière pragmatique en fonction des appétences et compétences de l’équipe originelle.
Le bouillonnement créatif et la relative liberté qu’autorise l’absence de cadre rigide, de processus définis et de procédures strictes comptent parmi les charmes des startups. Cependant, parmi ces structures un peu trop libres et un peu trop informelles, il y en a qui portent trop peu d’attention à la capture de savoir-faire et à la formalisation du retour d’expérience. Pour celles dont c’est le cas, elles se rendent de fait dépendantes aux connaissances personnalisées.
Lire la suite sur mon blog de la Nouvelle Industrie : Les startups et le risque des connaissances personnalisées
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