(Billet de bonne humeur)
Alors que le mois de mai (2017) avait démarré de manière tristouille, la conclusion heureuse et inattendue d'une affaire me pousse à “philosopher” et à me rappeler cette sagesse de comptoir énoncée par l’un de mes anciens collègues : on n'est pas à l'abri d'un coup de chance.
La plupart du temps c'est plutôt la loi de l'emmerdement maximum (aussi connue sous le nom de loi de Murphy) que l'on évoque plus volontiers et dont on se méfie. Elle est tellement fréquente que cela en devient une certitude : ce qui peut aller de travers le fera.
On en oublie le coup de chance duquel nous ne sommes pas à l'abri non plus. Les coups de chance sont-ils plus rares que les emmerdements ?
Les pessimistes ou les victimes expérimentées répondront par l’affirmative. Les optimistes et les chanceux” seront d’un avis contraire.
Ce qui est certain pour l’individu du commun, c'est qu’autant il faut se prémunir de tous les incidents qui peuvent se produire, autant il vaut mieux ne pas compter sur la chance pour se tirer d'un mauvais pas ou d'une situation délicate.
Ceci dit, il ne faut pas oublier de goûter le plaisir d’expérimenter le coup de chance providentiel lorsque celui-ci se produit, ni l’évitement d'un problème lorsque celui-ci a été correctement anticipé.
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