Je ne suis ni médecin, ni biologiste, ni même malade du COVID-19, ce qui me permet en toute candeur de m’étonner de tout ce que ce virus arrive à mettre à plat.
- Les stratégies très mûrement pensées, de sourcer (exclusivement) en Chine pour profiter de coûts apparemment imbattables
- Les chaînes d’approvisionnement, bien tendues
- Les stocks optimisés à leurs niveaux les plus bas
- La crédibilité des organismes officiels, qui il est vrai sont redoutablement efficaces pour rendre la plupart de leurs décisions rationnellement incompréhensibles
- Les contrôles aux frontières, lorsqu’il en reste
- Les services de santé qui n’en demandaient pas tant
- La fréquentation du musée du Louvre
- Le secteur hôtelier
- Les restaurants asiatiques ? Les restaurants italiens ?
- Le secteur aérien
- Nos plans de vacances de mars 2020 à... ?
- ...
Et ce n’est probablement pas fini.
Alors soit c’est vraiment aussi “bénin” qu’une grippe mais aux effets collatéraux inexplicablement hors du commun ou alors c’est plutôt neurologique, si tant est que ce terme s’applique à “perdre ses nerfs”.
Cela me paraît avoir des effets laxatifs croissants et si cette pandémie est réellement grave, vous serez au moins rassurés de savoir que je ne suis ni médecin ni biologiste.
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